Physique
Victoria est ce qu'on appelle une femme immense. Du haut de ses un mètre soixante-dix-huit elle a la chance de pouvoir contempler les calvities naissantes des Walkers. Dans le monde tel qu'il était avant, on pouvait considérer qu'elle était loin d'avoir un physique ingrat, deux grands yeux verts et une chevelure blonde bouclée, bien sûr, cela est moins flagrant puisque c'est faire ses ongles ou survivre. Mis à part à ça, elle a pris soin de relever des particularités physiques, après tout, cela aidera à identifier son cadavre. Victoria à une tache de naissance assez large sur le bras gauche ainsi qu'une épaisse cicatrice sur le ventre apparue suite à une altercation avec d'autres survivants. Comme une bonne partie de la population, Victoria à du abandonné son sens de la mode, qui lui tenait pourtant à cœur et se contente des vêtements qu'elle trouve sur sa route. .
Caractère
Victoria présente des traits caractères variés, elle a surement autant de défaut que de qualités. Même si, dans la réalité, elle ne fait pas réellement l'effort de montrer le meilleur d'elle. Dans sa nature profonde, Victoria n'est pas quelqu'un de cruel, bien qu'étant une gosse de riche capricieuse et parfois odieuse cette apocalypse à laquelle elle as assisté à atténuer ces aspects égoïstes de sa personnalité. Victoria est une jeune femme ambitieuse, coriace ce qui lui a permis de survivre jusqu'ici, même si son impulsivité l'a souvent mené dans des situations dangereuses ce qui n'est pas un avantage quand la vie dans son intégralité devient une situation dangereuse. Heureusement, Victoria sait aussi que pour survivre, il faut compter sur les autres, elle est loin d'être une solitaire, mais elle reste méfiante et est la plus franche possible, espérant qu'on lui renvoie la pareille. Et s'il y a coup bas, Victoria vous le rendra.
Histoire
DOCUMENT NON DATE -
" Mon nom est Victoria Frances King, fille de Henry Ernest King et d'Edith Gloria King, sœur de Seth King. Je suis née en 1994, le 2 février. Février, c'est le mois le plus inutile de l'année. La preuve ultime, c'est qu'il n'est même pas un mois complet. Mon père était un trader à Wall Street, ma mère était directrice d'une galerie d'art, mon frère était un bon à rien professionnel. Je ne sais pas où ils sont. Je ne sais pas s'ils sont vivants, ou s'ils sont morts. Je sais par contre que ma lampe de poche va rendre l'âme, c'est pourquoi j'écris ce message, avec l'espoir qu'il sera d'un quelconque réconfort à celui qui le trouvera. Je pourrais vous parler de ce qui se passe dehors, mais j'imagine que dans la mesure ou qui que se soit tombe sur cette lettre, cette personne est tout à fait au courant de la situation. Je vais donc parler de moi, après tout, je ne sais pas combien il reste de survivant, un témoignage de l'Ancien Monde est plus important qu'un témoignage de cette vie qui n'en est plus une. Quand les walkers n'existaient pas, j'étais étudiante en économie. J'étais loin d'être douée, cependant. Mais j'adorais tout de ma vie d'avant. De ma ville natale, Chicago et de ses rues si particulières, si uniques et animées jusqu'à Atlanta et mon bon vieux lycée. J'adorais faire du shopping dans les magasins les plus chers de la ville, passer des soirées interminables avec des gens que je ne supportais pas et des amis que j'aimais du fond de mon cœur. J'adorais ma routine, et j'adorais la haïr et m'en plaindre alors que ma situation était plus qu'enviable. La vie était confortable, vous savez ? Je vivais dans un grand appartement des quartiers huppés d'Atlanta, j'avais une impressionnante collection de chaussures et un chat que j'avais appelé Preston qui entretenait une relation de haine passionnelle avec mon frère. À l'époque, je croyais en Dieu, maintenant, je ne sais plus trop. Avant, j'avais des problèmes, j'étais diagnostiquée cleptomane, une maladie psychologique qui semble bien dérisoire désormais. Le monde était un endroit bien ennuyeux, auparavant, tranquille et routinier. Avoir une maladie psychologique, ça ne sortait pas de l'ordinaire, c'était juste un moyen d'apporter un peu d'adrénaline à la vie. Le vol, désormais, ça n'existe même pl-
J'ai entendu un bruit, un walker approche. Mon nom est Victoria King, je me dirige vers l'Hotel Hilton, si vous connaissez ma famille, dites leur où je suis. "