Memento Mori

Dans un monde envahi par les zombies, arriverez-vous à survivre ? Choisissez votre camp, choisissez votre survie... ou votre mort.
 

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 Mister Sandman

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Charlie Sandman

Charlie Sandman
I'm A Lonesome Wolf

Feat : Dylan O'Brien
Messages : 62
Date d'inscription : 16/02/2014
Localisation : Habitations d' Atlanta

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MessageSujet: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyDim 16 Fév - 10:22


Nom : Salmon
Prénom : Charlie
Date de naissance : 27.07.93
Lieu de Naissance : Inconnu
Âge : 18 ans  

Ancien metier : lycéen
Groupe : Lonesome Wolves
Feat : Dylan O'Brien.
Et vous ?  

Niveau : Cowecte je pense ._.
Âge : 17
Comment avez-vous connu le forum ? Grâce à Logan Smith

Physique

Beaucoup me disent que je ne fais pas mon âge, tout ça parce que je n'ai pas de poils au menton.  Mon air juvénile est renforcé par mes yeux marrons tout rond qui offre une expression tendre. Avant l'épidémie, j'avais les cheveux bruns coupés très courts. Maintenant ils trônent sur le dessus de ma tête sagement en attendant le coup de tondeuse. J'étais de taille moyenne (mais je crois avoir pris quelques centimètres ces derniers temps ! ) et assez svelte. Je n'ai jamais apprécié le sport à part la course mais pour d'autres raisons encore. Je ressemblais à n'importe quel adolescent, cela se confirmait davantage à travers les vêtements : jeans, t-shirts, baskets. Tout ce qui entrait dans la normalité. Cependant je suis différent sur un point. Sous mes couches de vêtements, je possède de nombreuses cicatrices sur le torse et les épaules. Et depuis peu, un bandage recouvre l'un de mes poignets.

Caractère

Je ne suis pas méchant, loin de là! Mais je suis dangereux quand même...D'abord parce que je suis maladroit et on ne vous le répétera jamais assez, les premières victimes d'un deux-pieds-gauches viennent de son entourage. Deuxièmement, je suis déclaré  cliniquement comme un bon gros pyromane et c'est du sérieux!  Mais c'est une autre histoire. J'étais toujours considéré comme bizarre (bizarre vous avez dit bizarre?) ça a accentué mon asociabilité et un profond sentiment de solitude. Je ne suis ni courageux, ni dévoué, ni généreux.  On me surnomme souvent Froussard et pas pour rien! Je n'ai pas que des défauts, enfin je l'espère. Même si je ne m'éternise pas à discuter, j'arrive à rire facilement grand farceur que je suis. Si je n'arrive pas à parler c'est peut être que je ne suis pas intelligent...Combien de fois m'a-t-on dit "quel con" ? même les profs finissaient par le dire dans leurs regards. Mais une chose est sûr maintenant je suis l'un des plus intelligents car j'ai survécu... Enfin intelligent ou malin tout dépend de votre positionnement!

Histoire

Avant l'épidémie.
Je m'appelle Charles Junior Salmon mais vous ne me connaitrez uniquement sous le nom de Charlie Sandman à présent.  Charles était le nom de mon père.  Il conduisait des hélicoptères civiles aux Etats-Unis et au Canada. Ma mère elle, était  enseignante à l'université. Elle enseignait la chimie à des grosses têtes. Son enseignement avait un goût d'amertume car elle n'avait pas pu être chercheuse dans  le laboratoire qu'elle souhaitait. C'était son plan B. Je suis fils unique et pourtant, j'ai l'impression quand même d'avoir été le gros vilain canard. D'abord à cause de mes parents. Toute ma vie (du moins ce qu'ils ont vu), a été rythmé par une pression pesante. "Travaille comme ça, sois ainsi, arrête de faire encore ça , commence à faire-ci ... " Certains considèrent ça comme de l'éducation, je pense que c'était du forcing exagéré car ils voyaient que je  n'étais pas normal. Et c'est parce qu'ils me trouvaient étrange qu'ils mettaient les bouchées doubles pour me remettre dans le droit chemin. Mais comme on dit : le naturel revient au galop.
En quoi j'étais étrange? J'admets que c'est un mot très général... Alors que les enfants jouaient ensemble, j'étais en retrait. Soit parce que j'étais trop silencieux ou trop hyperactif, jamais dans la norme. Soit j'adorais les effrayer avec des histoires sanguinolentes. Beaucoup de parents avaient convoqué les miens car leurs enfants ne dormaient pas. Mais ce n'était pas méchant! Le jour d'halloween quand j'avais 7 ans, j'avais glissé des cafards et des vers-de-terre dans les sacs à bonbons d'autres enfants, j'avais raconté le meurtre de mon oncle  à l'école aussi.  Que voulez-vous! On fait peur le jour d'halloween non ? Et on raconte une histoire effrayante lorsqu'une flopée de gamins le font aussi , juste histoire de s'intégrer à la conversation.  Cela n'est qu'un exemple des trucs bizarres que je faisais. Vilain petit Canard en famille et vilain petit canard à l'école !
Bien évidemment, ma réputation de mes premiers jours m'ont suivi après mes 11 ans évidemment. Une très belle étiquette du grand "weird" sur le front pour faire face à une colonie d'adolescents  aussi débiles les uns que les autres. J'étais profondément seul et ma pyromanie n'arrangeait pas grand chose.

La question du comment et du pourquoi a fait l'objet d'une controverse dans la famille Salmon. Mes grands-parents pensent que c'est parce que j'ai fréquenté un univers de chimie avec ma mère. Ajouté à cela mon sens de l'ingéniosité et de ma brouillardise, vous aurez une pyromanie de type 2. Pour ma mère, c'est ma façon de me faire remarquer parce que je souffre de solitude. Et pour mon père, c'est parce que je suis bizarre, encore une fois. Mon "handicape" comme le disaient mes parents - alors que j'employais le terme "don" (c'est forcément drôle quand vous avez 10 ans)- était inexplicable. J'étais juste attiré par le feu, le spectaculaire et le bruit.  Trop dangereux public, on m'a foutu dans un asile un an pour me calmer; Cela m'a fait l'effet inverse. Je me suis juste posé plus de questions sur la société. On me soufflait l'idée que je ne voulais pas m'intégrer aux autres alors que c'était les autres qui me rejetaient. J'aimais le feu mais je n'aimais pas blesser les gens, le sens de ma venue dans cet hôpital psychiatrique me paraissait alors plus absurde que jamais. J'étais sain d'esprit juste fan de sensations fortes et on me condamnait pour ça; J'aurais été un addict de spaghetti  ou de hamburgers, tout le monde s'en fouterait! En vain, j'avais essayé d'être sage pour sortir le plus tôt. J'avais été affaibli par les médicaments dès mon retour  à la vie "normale". J'étais surtout stone. J'avais intégré l'année 1 du lycée alors que j'étais censé être dans l'année 2. Tous ces problèmes m'ont fait prendre du retard !  Il y avait des effets sur moi car j'étais encore plus renfermé qu'avant et il y avait des effets sur mon comportement en cours car j'étais de moins en moins concentré et plus facilement distrait. Je ne peux citertout le lot de conséquences par manque de temps, mais j'avais perdu ma joie de vivre, ma flamme d'innocence et je me sentais rebelle. J'en voulais au monde, à mes parents et à tous les cons. La Terre et ses habitants étaient horribles à condamner ce qu'ils ne connaissaient pas,à mépriser les êtres faibles; Je ne me sentais pas être humain mais juste monstre on étranger. J'imaginais ma vie comme un trou noir. Cela était du à mon enfance instable et mon "hyperactivité" dégradé. Je me sentais comme un aimant en marche à la recherche de son bon pôle, à la recherche d'un environnement qui voudrait bien de moi. Je laissais mon esprit vagabonder grâce aux livres et aux cartes postales. C'est fou comme un livre pouvait vous anesthésier les sens et vous changer de planète. Le livre est meilleur que l'homme, on l'oublie souvent.

J'aimais lire mais ce n'était pas pour autant que j'étais intelligent. J'avais l'esprit trop simple pour ne pas dire débile. Ce n'était que pour les atomes, les principes et tous les mécaniques de la chimie que j'étais doué.  Sur ce programme , j'avais une longueur d'avance sur les élèves qui avaient un an de moins que moi dans ma classe et peut être même les profs. Ils m'avaient dispensé de cours de cette matière pour la sécurité de tous, j'étais privé d'internet pour ne pas m'informer. Je n'avais pas le droit de toucher : à un four, un micro-onde, un briquet, un pétard, et même le téléphone portable. J'avais utilisé la batterie une fois pour provoquer un accident dans un café.

L'incident avait provoqué mon insertion dans l'HP.  J'avais 14 ans et j'étais au restaurant avec ma tante. Je venais d'avoir un téléphone portable pour mon anniversaire. Je savais qu'en ouvrant la batterie, le contact d'une molécule avait l'air aurait provoqué une étincelle. J'avais pris quelques ingrédients de mon assiette et le verre d'alcool de ma tata, profitant qu'elle soit partie au toilette, pour créer une combustion sur la table. Je suis banni du restaurant mais j'ai gagné une place VIP à l'HP. Il faut voir le bon côté des choses.  Cette anecdote est une parmi X. Beaucoup m'ont offert des cicatrices. Notamment lorsque j'ai découvert que j'étais pyromane aux alentours de ma dixième bougie.  On ne savait pas ce qui s'était produit mais je commençais à brûler vif. Mon dos et mes épaules ainsi qu'une partie de mon torse; calcinés. A présent j'avais de beaux reliefs semblable à ceux en géographie. J'avais perdu ma peau lisse; Peut être que c'était cet incident qui avait déclenché ma fascination pour le feu. La douleur ne m'avait étrangement rien fait ... Je m'étais senti puissant pour la première fois. C'était agréable de se sentir vivant quand on avait frôlé la mort.  
Un autre événement avait marqué ma vie (parmi le grand nombre). Je regardais une émission sur un magicien qui s'était pris pour la torche humaine. J'avais reproduit la même chose le lendemain sur un camarade.
-T'es sûr que c'est comme à la télé? avait-il demandé immobile lorsque je l'imbibais d'essence.
- Oui oui . T'as bien vu comment il avait fait !
J'allais gratter une allumette lorsque sa mère intervint. Elle s'était demandé affolée où j'avais eu le bidon.  Ma réponse était simple et claire :" Bah , dans une station service M'dame!"  
Ce fut la fin avec mon ami Wallace, le premier et le dernier digne de ce nom.  Celui qui était resté le plus longtemps à mes côtés : 2 semaines.
Le seul moment où je pense avoir impressionné quelques malheureuses personnes, c'était lorsqu'une bonne femme était entrée dans la classe et nous avait demandé à tour de rôle ce qu'on voulait faire plus tard. Quand j'avais répondu " je veux faire des feux d'artifice", plusieurs têtes s'étaient retournés vers le fond de la classe pour me dévisager. Il y avait sincèrement une pointe d'admiration parce que quand on a 8 ans ou 9 ans, on adore les feux d'artifice et toutes les belles choses qui nous entourent deviennent de potentiels métiers  attrayant et rigolo.

Aucune biographie par personne (ni même par moi)ne peut refléter ma véritable identité. Je peux me résumer qu' au mot "anormal". Je suis très peu souvent considéré comme individu à part entière. Je suis à la fois une obmre parce que tout le monde m'ignore mais je suis très présent par ce que je suis considéré comme dangereux. Ce qui peut être paradoxale. Ma réintégration après l'asile avait été très brusque pour moi même si mon défilé de responsables médicaux avait tout tenté pour m'intégrer à la société en douceur. Je n'avais pas arrêté réellement avec cette histoire, je poursuivais les rendez-vous et les tests car ils voulaient avoir la certitude que je ne sois plus apte à  provoquer le danger.  Je souffrais plus parce que je n'étais pas moi-même  et qu'on me réduisait  à silence. Je me sentais comme un animal qui avait envie de rugir.
Je crois que j'étais pour beaucoup mais mes parents par la suite ont souhaité divorcer. Mon père allait partir pour Jacksonville en Floride.  Je ne cache pas non plus que ni l'un ni l'autre ne s'était battu pour ma garde, même s'il était question d'un an seulement. Qui allait récupérer le gros bébé bombe? Ca incluait visites quotidiennes et surveillances chiantes... Ils avaient envisagé de me mettre dans un centre ou du moins dans une autre famille qui serait plus attentive à mes problèmes. Moi je ne voulais pas, surtout que je me sentais normal. "Pourquoi moi ? Alors que je n'avais fait de mal à personne!" (Admettons que l'épisode de Wallace est une erreur de jeunesse comme tout le monde!)
Mais je n'allais pas cracher totalement sur ces séances interminables avec les psy' . Ils m'auront appris à être optimiste et croire aux miracles, choses qui me paraissaient totalement folkloriques jusqu'au moment où un véritable miracle s'était produit.

Le début de l'épidémie.
Non je n'avais pas vu une meute de zombis courir vers moi pour la première fois. Cela ne s'est pas du tout produit de la sorte. Je ne viens pas d'une grande ville alors on était assez déconnectés de tout même si on avait entendu parlé d'un virus important.
Ce matin-là, je me rendais à mon lycée qui se trouvait à Starkville. Je ronchonnais parce que je devais faire 20 minutes de trajet à pied et que j'étais interdit d'avoir ma propre voiture (au cas où j'aurais l'idée de foncer dans une autre voiture, ou bien de foutre le feu, de me créer un accident spectaculaire...)  ou de prendre n'importe quel véhicule. On habitait légèrement en retrait de la petite ville du Mississippi. Parce que je suis originaire d'un  bled tout paumé ,  j'ai rapidement arrêté de préciser là où je venais. "Starkville... tu connais pas? Normal, personne connait." point.
Enfin bref, ce jour là comme tous les autres jours, je marchais seul, mon sac bandoulière avec moi et je m'amusais à shooter dans les cailloux comme les gamins de 5 ans (ce que j'étais resté d'une certaine manière parce quand il avait plu la veille, je m'amusais à sauter dans les flacs d'eau ....). J'étais sur le bord du chemin, vide de trafic routier. Jusqu'au moment où un homme à la démarche bizarre vint face à moi. Il avait une de ces dégaines! J'avais cru au début qu'il avait un cailloux dans sa chaussure ou ce genre de conneries qui peut tous nous arriver.Il devint progressivement net face à moi car au début il était une toute petite silhouette. Il était vraiment vraiment bizarre , dans le sens il n'était pas formel à la norme. "Alors moi on me fout dans un endroit spécifique mais lui il reste libre comme l'air?! Pff , saloperie de société. "C'était officiel, je haïssais  les gens et leurs lois qui s'appliquaient sur qui ils voulaient et pas tout le monde.
L'homme avait attiré mon oeil pour la seconde fois, je ne pus l'éviter. Il agitait ses bras vers moi comme si on se connaissait. J'allais lui poser la question en plus. Or je vis un trou béant dans son ventre et comme de fait, j'avais été estomaqué par sa volonté à marcher.  Son t shirt était noir, de loin je ne voyais pas qu'il était imbibé de sang, comme ses cheveux d'ailleurs.  Ce qui m'avait réellement frappé c'était son odeur. Il puait la mort à plein nez.
Ca me rappelait l'odeur de la chambre de mon oncle lorsqu'on l'avait retrouvé mort avec ma mère. Il vivait au 4ème Etage d'un immeuble. Cela faisait tellement longtemps qu'il était étalé sur le sol que le sang avait imprégné le sol et commençait à s'infiltrer chez les voisins de l'étage inférieur. On avait jamais compris véritablement comment il était mort. Mon père, son frère donc, était persuadé que c'était parce qu'il dealait ou qu'il était membre d'un gang mexicain.  " C'était son banquier c'est tout" Avais-je dit le plus sérieusement possible même si en fait il était question d'ironie. A partir de ce jour, je crois que j'apparaissais véritablement comme un sans-coeur aux yeux de mes parents.
Pour revenir à notre personne qui était toute sauf normale, j'avais compris qu'il était un véritable danger lorsqu'il m'avait agrippé faiblement  au col de ma veste en me jetant en pleine figure , cependant, son haleine bestiale. Tout s'était passé très vite.... Nan, en réalité , il m'avait à peine frôlé mais j'étais du genre peureux et inquiet pour un rien,  et un rien devenait  une grosse chose.  L'adrénaline et mes jambes comme dépendantes de mon cerveau avaient décidé de faire demi-tour. je m'étais tapé un sprint phénoménal comme je savais si bien le faire lorsque de grosses brutes voulaient me péter la figure.
Cela était monnaie courante. Ils me laissaient  10 secondes pour m'enfuir ou ils me tapaient à mort. Au final je courrais 10 secondes pour me faire taper dessus à l'arrivée car  des sbires étaient planqués un peu partout. Les seules fois où j'avais réussi à m'enfuir , je l'avais payé très chère. J'étais alors devenu une véritable gazelle.
En rentrant chez moi, je m'étais fait engueulé parce que ma mère voyait là un prétexte pour ne pas aller en cours comme je le faisais si bien.  Sauf que non, j'avais eu peur, véritablement peur.  
-Ne raconte pas ça à Papa, il va encore me prendre pour un faible..
Sa politique était simple : soit on était puissants presque insolents et dans ce cas là on était forts (les "winners") . Soit on se laissait marcher dessus et on était faibles ou même "victime" pour reprendre son terme exacte.
Elle me fit une promesse discrète à travers ses yeux émeraudes avant de me demander d'aller en cours en prenant un autre chemin.  Si ma relation avec mon père était totalement hostile et vide, avec ma mère j'apercevais une pointe d'amour que je n'avais  jamais vu nulle part ailleurs. Quand je faisais le pitre , elle optait des traits de mère inquiète à l'inverse de mon père avec ses traits d'homme humilié ou dégouté.
J'avais obtempéré alors, j'étais parti me rafraichir le visage et reprendre mes esprits avant de retourner en cours. Je psychotais à l'idée d'en recroiser un. Mes jambes étaient prêtes à faire le trajet en sens inverse comme un peu plutôt dans la matinée. Le début de ma journée au lycée était "normal". Je m'étais fait vanné, quelques regards méprisants, des profs qui me reprochaient mon manque de travail mais qui au final s'en foutaient tant que je ne faisais pas le bordel et que je restais sagement assis au fond de la classe. Mon dernier cours de la journée était celui de mathématiques. Je n'étais pas plus que ça concentré. Rêvassant j'avais vu une drôle de scène par la fenêtre qui donnait vue sur la cours principale. Une femme se faisait... manger. Oui c'est ça, elle se faisait manger par un élève qui était....
-CE MONSTRE, m'exclamai-je en me levant de ma place. Je ne pouvais pas détourner les yeux comme hypnotisé de la scène.  La classe ne semblait pas réagir. Certains élèves ont eu la curiosité de regarder toutefois.  ils avaient été terrifiés. Plus que moi en tout cas. Mrs Gretel nous avait autorisé  à sortir calmement au final. L'alarme s'était déclenché. C'était vite devenu le chaos. Des élèves souriaient excités à l'idée de louper les cours et voir quelque chose pimenter leurs vies. D'autres pleuraient. Plus je m'approchai de l'entrée principale , plus tout le monde était affolé. Parmi les élèves et les enseignants, certains avaient fini par rendre le déjeuner. J'avais dégluti pour me ressaisir, je ne devais pas faire de même. Le temps semblait s'être arrêté dans le lycée mais javais l'impression que ces cannibales pesaient sur la ville voire la région entière. Comme si un nuage toxique planait sur nos têtes et qu'on devait nous confiner. Avec la panic générale, mon pouls s'était accéléré, exactement la même sensation que ce matin-là plus tôt. Je m'étais stoppé quelques instants devant le poste du concierge qui écoutait la radio " La police conseille aux habitants de  la ville de verrouiller les portes et de...". Je ne m'étais pas arrêté plus que ça.  Quand j'essayais de slalomer entre les personnes qui se tassaient dans le lycée, je prenais conscience d'une chose. Cet événement qui terrorisait tous les gens normaux était en fait pour moi un passeport vers la liberté. Cela était apparu comme un déclic. J'étais extrêmement effrayé parce que je devais me sauver mais entre un homme fou dangereux comme je n'en avais pas vu à l'asile et un gamin de mon âge qui appréciait me frapper, il n'y avait pas beaucoup de différence. Au moins pour le psychopathe, tout le monde trinquait !  Et ça c'était chouette ! Que Justice soit faite  après tout. Dans ma tête comme dans un ordinateur , tout s'emboitait très vite alors que je m'approchais du parking. Si ça devait être le dernier jour de ma vie ou de nos vies, j'avais aimé conduire une voiture comme tous les adolescents de mon âge. Je suis tombé sur un vieux pick up boueux. Cette celle du fils du fermier là; Comment il s'appelait?  Marx Stood, Marx Stoond, Stoold... Enfin bref, un chouette type de mon cours de biologie. Il m'avait ramené une fois parce qu'il était vraiment chouette. Je n'étais pas sujet à l'hypermnésie mais de tels événement étaient rares dans ma vie alors je me souvenais de tout ce qu'il m'avait dit et de tous nos sujets (mais j'étais pas foutu de me souvenir correctement de son nom..) . Mais surtout je me souvenais de tous ses mouvements avec précision. Il avait oublié ses clés une fois, il avait pris celle de secours qui se trouvait sous la carcasse de la voiture au niveau du pneu passager avant. Je glissais ma main à la recherche d'une éventuelle clé. Je tâtais avec anxiété car du coin de l'oeil je vois les corps tomber un à un après le passager des psychopathes. Même que certains se relevaient !  "Ils se foutent de ma gueule en fait? C'est ça, c'est une caméra caché! Bravo les gars ! Même les ambulances chapeau!" Quelques minutes puis des ambulances  effectivement fourmillaient dans le coin. Des passants qui saignaient du cou, des bras, de la jambe, tentaient de s'approcher des camionnettes de secours. J'avais fini par trouver, non pas une clé, mais un petit levier. En le tournant, un clic se faisait entendre et la porte côté conducteur s'ouvrait comme par magie. C'était l'avantage des vieux modèle. De toute manière la ville n'avait que des vieilles voitures sur ses routes. C'était une tradition à travers les générations assez débile.  Enfin, on passera sur les détails de cette ville pourrie que je n'aimais pas.  Je montais dans la voiture et appuyais sur un bouton caché pour la démarrer. J'avais accéléré sans me poser la question de où , de qui. Mon adrénaline était aussi une excitation nouvelle. La dernière fois que j'avais vécu ça, c'était quand j'avais mis  des explosifs maisons dans mon gâteau d'anniversaire pour que tout part en miette. C'était vraiment drôle mais pas quand il avait fallu nettoyer.... Ah oui il y a eu aussi la combustion lors du restaurant, mais j'en garde un mauvais souvenir car ça m'avait envoyé à la case"prison" , enfin case HP. Je vous laisse vous référer si dessus...
A toute vitesse, comme dans les films d'action, j'avais déboulé dans l'axe principale de la ville avant de freiner pour admirer le spectacle grandiose. Des morts, des incendies (Mister Sandman 1956859838), des cris.... c'était juste l'Apocalypse.  Et vous savez quoi? Tant mieux !  Que mes parents incapables finissent en enfer, que tous les salauds qui ne m'ont pas compris finissent en enfer, que le gouvernement se démerde pour régler le problème même si je sais qu'il finira en enfer, que les cons  des télé réalités, des shows , les gros égos finissent en enfer, que les saloperies de mon âge méprisants et débiles finissent en enfer! Que la normalité habite l'enfer et que la terre devienne mon paradis.  J'emmerdais la normalité et la société.
Un de ces individus (qui me faisaient penser aux zombis) avait sauté sur le capot de la voiture, ce qui m'avait tiré de ma rêverie. J'avais redémarré, une fois de plus tentant de le faire décrocher.
-AAAAAAAH. (non ce n'était pas la panic dans ma tête, c'était la panic que j'exprimais à voix haute.)
C'est que si lui et ses potes venaient de me sauver la vie d'une routine insupportable, il me gênait la vue! "Décroche, décroche!"
Rentré chez moi, je n'avais vu personne. J'avais beau les appeler, c'était le silence qui me répondait. "Je vais les quitter à leur propre sort" pensais-je en haussant les épaules pas si inquiet. C'est vrai quoi, j'étais sur le banc de touche quand il s'agissait de leur jeu de vie "normale". Maintenant qu'on changeait de jeu , il fallait suivre mes règles!  J'avais pris des bouteilles d'eau et mes céréales préférés dans mon sac bandoulier. Tout en fouillant dans ma chambre pour trouver des vêtements je rêvassais : " Où vais-je aller? L'Oregon c'est chouette ça non? Oh non on va aller à Los Angeles voir toute cette bande de célébrités se faire bouffer. Est ce qu'il faut que je prenne du pop corn avec moi? " Après avoir pris un t shirt et des sous-vêtements de rechange pour les mettre dans un autre sac à dos , je poursuivais dans la salle de bain. " Le Mexique ça serait cool ! Je pense qu'on n'aura plus de problèmes pour passer la frontière ! " J'avais pris une bouteille de javel , du déodorant, et une brosse à dent. Dans ma tête une liste interminable d'objets à prendre était apparu. J'étais descendu dans la cuisine . "Ibiza ça serait beau mais je ne suis pas sûr que cela sera possible. Rien ne me tente de voir au port ou à l'aéroport ..." J'avais pris des bouteilles de bière dans le frigidaire
et des torchons et surtout.... des ALLUMETTES et des briquets.  Dans ma tête, tout ce que je prenais c'était des "1+1". Un millier de combos s'offraient à moi. Je mis tout mon bordel dans une caisse que j'avais préalablement préparé du garage. avant de tout mettre dans le pickup noir. Je rassemblais, pour finir, des boites de conserves, deux bidons vides et une pipette à essence, sacs en plastiques, une caisse à outil avant de me mettre en route.

Après l'épidémie
En fait tous ces ingrédients m'ont permis, comme vous l'aurez deviné, de confectionner des bombes artisanales, ce qui était devenu ma spécialité première.  J'avais explosé du mort vivant avec une dizaine de bombes/explosifs différents. Je commençais à voir du décors : Floride, Washington D.C, Texas, Nebraska, New Mexico, ..... Je parcourais  les USA, bon vagabond que je suis,  et je rencontrais toute sorte de  survivants. Des survivants qui étaient devenus des clients ! Eh oui je faisais des affaires.  Je confectionnais des bombes en échange de la nourriture et d'éléments pour reconstruire des bombes à nouveau.  Cela m'évitait de risquer ma vie en fouillant les maisons (même si j'étais par moment obliger de le faire) et ils possédaient des bombes efficaces. Tout le monde est heureux comme ça. Cela m'a valu le surnom de "Sandman" durement gagné et qui connait une réputation durant une année complète.
Pour l'anecdote, je me faisais déjà appeler Charlie  au lycée. Juste parce que le prénom Charles était obsolète. Seuls mes parents savaient que je m'appelais comme ça. Je n'aimais pas alors je m'étais auto baptisé  Charlie. Pour Sandman , cela était une pure référence au marchand de sable. Une gamine m'avait vu poser une boite à clous , bombe devenue ma spécialité première. Cette bombe fonctionne comme une mine anti-personnel enfouie à moitié dans la terre. J'en avais posé au bord du lac une journée de beau temps. Plein de survivants étaient venus se rafraichir. 3 bombes avaient explosés à la suite provoquant une pluie de sable aux alentours.  La fille avait alors demandé à sa mère " C'est comme ça qu'il travaille le marchand de sable le soir?". La mère m'avait souri avant de lui répondre " oui oui , Mister Sandman fait comme ça" Je trouvais ça amusant et enfantin. Sandman était mille fois plus cool que Salmon, comme le poisson.
Avec la fonction de "vendeur de bombes" , on me prenait pour facteur. Je n'avais pas de véritables destinations. Par moment , les survivants correspondaient et je tentais de remettre des courriers ça me permettait de voir du voyage et de trouver des destinations alors. Je me sentais à ma place, l'instabilité était devenue chose courante. J'étais instable donc j'étais dans mon élément. Les survivants ne me voyaient plus comme le dégénéré du coin, ils me voyaient comme un talentueux débrouillard extrêmement intelligent. Un génie des temps modernes, l'unique Mister Sandman. Comme toute médaille, il y avait un revers recouvert d'une part d'ombre. Je n'inspirais pas seulement l'admiration. J'ai été hors-circuit pendant quelques semaines l'hiver. J'ai été tout simplement kidnappé par un clan d'hommes qu'avaient essayé d'obtenir ma pyrotechnique. Ils m'ont un peu frappé mais en revanche j'avais beaucoup pissé dans mon froc. C'était des anciens taulards (, des nouveaux tocards et les derniers connards! - comme j'aime le dire), des dealers, tout ce que la vague d'épidémie n'a pas pu engouffrer avec elle. Même l'enfer voulait plus d'eux apparemment. Je ne voulais pas leur donner mon travail car cela représentait le plus gros de mon temps. La première fois de ma vie que j'étais fier d'un exploit, j'allais pas tout leur offrir sur un plateau d'argent! Dans ma cellule (qu'était une ancienne caravane), j'avais réfléchi à un plan d'évasion ou à une sorte de bombe . "Mais oui ! Le fumigène!"
J'avais confectionné alors devant mes preneurs d'otage un fumigène en leur faisant croire que c'était la bombe qui pouvait égaler la bombe nucléaire. Je m'étais mis debout, prêt à l'éclater au sol. Ils avaient tous former un magnifique cercle autour de moi assez distant pour assurer une sécurité. A ce moment précis j'avais l'absurde image de Mushu (le dragon de Mulan) faire sa première apparition dans un nuage de fumée assez épique. Avec absurdité j'avais crié " MUSHU" d'un ton dramatique et grave avant d'éclater les fumigènes autour de moi. Le nuage puait le vinaigre et piquer les yeux à cause du sel. Je me retenais de tousser alors que j'entendais autour de moi tous les hommes s'asphyxier. Je m'étais faufilé au raz du sol. Une main avait saisi une de mes chevilles, j'avais cogné à la tête avec l'autre pied assez violemment pour que l'anonyme du brouillard recommence.
Maintenant, je fuyais une bande d'hommes assassins d'humains à bord de mon fidèle pick up noir. Ils ont piqué la totalité de mes provisions et quasiment la totalité de mes bombes sauf le matériel qui était nécessaire pour les fabriquer. Je partais en trombe après avoir connu la plus grosse frousse de toute mon existence ne direction d'Atlanta.
 


Dernière édition par Charlie Sandman le Lun 17 Fév - 11:12, édité 14 fois
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Marabella Pierce

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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyDim 16 Fév - 10:31

Preum's !! Re bienvenue !!! Very Happy
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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyDim 16 Fév - 10:33

Bienvenuuuuue ♥️ Merci beaucoup de t'être inscrit, et si t'as des questions ou quoi on est là \o/
Bon courage pour ton histoire. Mister Sandman 3684941305
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Jack Anderson

Jack Anderson
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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyDim 16 Fév - 11:30

Re-bienvenue Razz
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Serena Donnelly

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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyDim 16 Fév - 11:35

re-bienvenue Very Happy un nouvel ami Very Happy
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Charlie Sandman

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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyLun 17 Fév - 3:43

Merci Mister Sandman 3707995142
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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyLun 17 Fév - 3:58

Rebienvenu ptit homme :p
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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyLun 17 Fév - 11:21

Merci Wall-E Mister Sandman 3707995142

Viens de finir sa présentation ! Mister Sandman 2760362753
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Daryl Dixon

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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyMar 18 Fév - 14:27

Bonjour petit Charlie!

Comme je suis sympa et que je t'aime bien (Mel fait dire bonjour à ton autre toi!)

Je te valide! Very Happy

Selon MON calcul, tu as 324 lignes (faut être généreux dans ce monde de malade!) ce qui te donne un joli total de 1620 pts.

Tu connais ensuite la procédure, boutique, fiche de liens et tout ça! Bon jeu! Very Happy Mister Sandman 337492128
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Serena Donnelly

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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyMar 18 Fév - 14:28

Yeah! Tu es habillé Charlie Very Happy
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Nokomis Skullnox

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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman EmptyMar 18 Fév - 23:12

Ça mère la taille de la prez °° *fuis*

BIENVENUE CHEZ LES ASSOCIABLES ♥
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MessageSujet: Re: Mister Sandman   Mister Sandman Empty

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