Memento Mori

Dans un monde envahi par les zombies, arriverez-vous à survivre ? Choisissez votre camp, choisissez votre survie... ou votre mort.
 
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 Serena Donnelly

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Serena Donnelly

Serena Donnelly
I'm A Lonesome Wolf

Feat : Vanessa Hudgens
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Date d'inscription : 02/02/2014

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MessageSujet: Serena Donnelly   Serena Donnelly EmptyDim 2 Fév - 5:21


Nom : Donnelly
Prénom : Serena (Lolita)
Date de naissance : 21 avril
Lieu de Naissance : New York
Âge : 17 ans
Ancien métier : Étudiante
Groupe : The lonesome wolves
Feat : Vanessa Hudgens
Et vous ?  

Niveau : Je me débrouille
Âge : La même que plusieurs
Comment avez-vous connu le forum ? En ouvrant la page ^^

Physique
Serena est une magnifique jeune fille au regard pénétrant. Serena à le teint qui varie selon les saisons, légèrement foncé l’été et plus pâle l’hiver. Elle a les yeux marron, ce qui ne l’empêchement d’avoir un regard pénétrant, presque envoutant. Elle a de magnifiques cheveux marron foncés, presque noir. Elle les garde frisée ou vagué ne mettant aucun effort pour les coiffer. Elle apprécie tous les styles vestimentaires appréciant généralement ce qui passe inaperçu, ça vous étonne? Vu le contexte actuelle, c’est logique. Elle était une jeune fille nullement complexé et même très « garçon », préférant taper dans des ballons… et des mecs que de jouer à la poupée. Elle possède donc un physique très sportif et quelques cicatrices de sa jeunesse. Elle ne garde aucun signe distinctif, n’Y même de nom, elle préfère simplement passer inaperçu. Ce qui est un peu difficile puisque son physique est très avantageux.

Caractère
Eum… comment définir Serena. Elle est une jeune femme enjouée lorsqu’il y a de l’action autour d’elle. Elle peut même être trop enjouée dans certain cas. Elle s’existe dès que ça commence à chauffer et adore lorsqu’il y a de l’action dans l’air. Elle a des tendances sadiques et aussi violentes. Ont-ils été développés dans l’enfance ou avec l’arrivée des rôdeurs? Personne ne le saura jamais. Elle est une véritable tête-brûlée et préfère agir que réfléchir. Elle reste toujours en mouvement et surtout sur ses gardes en tout temps. Elle est insultante et adore s’amuser au détriment des autres. Lorsqu’elle parle, elle est évasive et floue, elle n’est pas très fréquentable et ne parle que très rarement aux autres. Elle se fiche royalement des autres et de ce qu’il pense. Elle est bornée et enflammée. Lorsqu’elle commence à s’ennuyer, elle commence à rager telle une lionne en cage. Elle éprouve un besoin flagrant d’avoir du plaisir et de l’adrénaline tous les jours. Serena, sous ses airs de femme froide et distante n’est pas une méchante fille, elle est simplement incomprise.

Histoire

Serena passa son enfance entre une mère cavaleuse et un père invisible. Son père était un voleur de première et sa mère, n’ayant pas un métier assez louable pour vous en parler grandement, nous passerons sur le sujet vaguement. Son père n’était pas vraiment invisible, juste inexistant, comme si une mère pouvait concevoir un bébé toute seule. Bon d’accord, plus tard, elle comprit que sa mère et son père devait être tellement défoncé qu’ils ne se souvenaient plus l’un de l’autre, n’y de ce qu’ils avaient fait et hop, neuf mois plus tard, un petit bébé tout neuf.

Lolita passa donc son enfance cachée dans un placard pendant que sa mère… travaillait. Bon, pour les besoins de la cause, disons simplement que sa mère réussissait à réaliser des fantasmes masculins en tout genre et qu’elle était payée pour ça. Oui, sa mère avait des tendances à… être désirable. Que voulez-vous c’était de famille. Elle vécut donc toute sa vie avec cette mère, une mère qu’elle n’avait pas choisie, mais que pouvait-elle s’offrir de plus hein? Lolita avait dû faire quelque chose de mal, de très mal dans son ancienne vie pour mériter ça.

Elle était donc habituer à rester isoler du reste du monde par peur du jugement. Elle et sa mère passèrent toujours moins d’une année à chaque appartement loué, chaque fois c’était la même chose. Sa mère faisait toujours quelque chose pour nuire à leurs stabilités. La mère de Serena ne put jamais garder un homme, se laissant battre pour un peu de chaleur ou se faisant jeter à cause de son passé, qui redevenait son présent par la suite. Qui voudrait marier ce genre de femme de toute façon? Lolita vécu dans un monde de drogue et de violence gratuite. Pour elle, dès son enfance, elle vécut avec l’image de l’alcool, le sexe, la drogue et la violence coulant à flot… Comment croyez-vous qu’elle est devenue ce qu’elle est? En jouant aux échecs sagement dans une villa sereine d’un cartier bon chic bon genre peut-être? Oh non, jamais elle n’aurait pu envisager ce genre de vie pour elle. Elle était le fruit d’une union ratée… Totalement raté en fait. En fait, il n’y avait même pas eu d’union du tout, juste du sexe, brut et laid. Parfois, elle pouvait imaginer le père qu’elle n’avait jamais connu. Elle savait qu’il venait d’Atlanta, mais rien de plus. Il était peut-être riche, peut-être un drogué voleur de voiture… Peut-être qu’il était bon, peut-être qu’il était mauvais. Peut-être qu’il était misogyne, mais peut-être qu’il aimait les femmes. Elle n’en savait rien et maintenant, cela l’importait peu.

Elle vécut l’entré à l’école comme une délivrance. Rien à voir avec les jeunes tristes de quitter la maison. Elle était ravie de trouver dans cette bâtisse un peu sombre et sérieusement vandaliser, une première maison. S’il y avait bien une chose que sa mère respectait, c’était l’assiduité de Serena à aller en cours, surtout qu’elle avait la paix pendant ce temps. Même malade comme un chien, elle trainait sa carcasse sur les bancs d’écoles. Lolita fut rapidement dans les premières de classes, elle ne s’appliquait pas vraiment, mais elle n’avait rien de mieux à faire. Elle n’avait pas beaucoup d’amis, mais sincèrement elle s’en fichait. Elle n’en voulait pas, elle allait finir par déménager de toute façon ou pire… elles voudraient venir à la maison… Cette maison… et voir cette… mère. Non, pas d’amis, les amis c’était encombrant.

Vers c’est 6 ans, elle vola des sous à sa mère pour se payer des cours de karaté, puis elle renouvela l’expérience chaque année sans vraiment s’attacher. Elle y allait selon le moins cher, donc karaté, boxe et cours d’auto-défense y passa. Elle aimait de tout, surtout quand sa lui permettait de frapper et de se défendre. Dans sa situation, tout pouvait toujours servir.

Vers ses 14 ans, tout changea… si on veut. Ce qui arrivait à la plupart des prostitués des quartiers malfamés arriva, sa mère fut assassinée. Bien sûr, la première chose que ressenti Serena fut le désarroi. Pas de la peine, n’y même de la colère. Elle était juste… amère que sa mère n’ait pas attendu 4 ans, le temps que la petite Lolita soit majeure. Vous vouliez quelle fasse quoi? Elle n’avait pas beaucoup de choix, pas de père, plus de mère, aucune famille… Elle eut donc droit à une famille d’accueil. Plusieurs en fait.

En rapatriât le peu de chose appartenant à sa mère, le peu qu’elle pouvait garder aussi. Elle trouva finalement une boite, caché trop loin dans la garde-robe de sa mère pour que Lolita ne se pose pas de question. Elle l’ouvrit pour farfouiller. Sait-on jamais, ça aurait pu être des économies. Elle trouva des lettres, des coupures de journaux et une photo. Une photo flou, prise dans un… un bar? Sa mère et un homme que Lolita ne connaissait pas. Il n’était pas très beau, il avait l’air complètement partie, sa mère aussi d’ailleurs… C’est là qu’elle vit la date. Pour une personne normale, la date n’aurait pas fait tic dans sa tête, mais sérieusement, c’était une trop grosse coïncidence pour que ça passe. Elle refit rapidement le calcul, 21 avril moins 9 mois à plus ou moins près donnait exactement cette date. C’était la plus grande piste vers son vrai père, mais sérieusement… plus elle le regardait… plus elle se demandait si elle voulait vraiment le retrouver. Heureusement pour elle que sa mère était jolie, son père n’était pas le plus beau, loin de là.

Pendant ce temps, elle s’amusait avec un homme plus que les autres, rien de sexuelle, simplement par sadisme envers les autres. Ceux qui avait remarqué que Serena était… que Serena était jolie bon. Dylan devint une des seules personnes avec qui elle se permettait de trainer quelques fois et étaient toujours ravie de le revoir. Ils formèrent un duo amusant, leurs pouvoirs s’appréciant bien. Ils s’amusèrent ensemble souvent et décidèrent de voyager ensemble. Il pourrait, si Serena avait cette possibilité, qu’il soit considéré comme un ami, mais elle n’avait pas d’ami. Donc, il n’était qu’une connaissance positive, il en fallait bien plus pour atteindre l’estime de notre Lolita, elle ne faisait plus confiance, il n’en changeait pas moins qu’il était homme, rien de plus, rien de moins. Les hommes c’étaient le mal, ils allaient l’abandonner au final. C’est donc elle qui l’abandonna à New York pour voir du pays.

La première était constituée d’un père, d’une mère et de 2 enfants plus petits, eux aussi sous tutelle. Les trois premiers jours, tout alla bien. Elle restait enfermé dans sa chambre, allait à la même école, c’est le vendredi soir que tout bascula. Son « père » comme il aimait que les enfants l’appel, était entré ivre. Les autres enfants se cachèrent, disant simplement que s’il les trouvait, il les battrait. Elle se cacha donc avec eux, ne sachant pas trop ce que le « père » ferait. Bien sûr, il les trouva. Il saisit par le collet un des petits et Lolita se leva. Elle n’avait pas l’intention de laisser le petit manger des coups. Surtout pas par un mec bourré. Elle le frappa donc dans les genoux, pas trop fort. Il lâcha le petit et la frappa au visage. Elle ne put que sourire sous son coup, il laisserait une belle marque, pas le sien. Elle le maitrisa juste après, lui cassant la clavicule au passage et lui fêlant une côte pour bien lui couper le souffle pendant que les petits se sauvaient. Elle les amena à l’extérieur, sous les cris de sa « mère » qui l’accusait d’avoir blessé le monsieur. Bref, Serena appela la police calmement, payant au deux petits un chocolat chaud pour faire passer le mal. Elle porta plainte ecchymoses à l’appui. Le lendemain, elle retournait en centre. Au milieu de la semaine d’après, elle rencontra la famille numéro deux.

Elle entra dans une famille normale, du moins les premiers mois. Elle s’entendait beaucoup avec l’homme qui lui servait de figure paternelle, ce qui était rare pour elle. En fait, elle n’avait jamais sentie ce genre de complicité. Il l’avait gagné en lui montrant quelques bricoles en mécanique. C’était la règle 101 avec Serena, pour la gagner… fallait lui montrer des choses, si elle utilisait son cerveau elle ne pensait pas à ses émotions, n’y même à ses craintes. Lorsqu’elle faisait de la mécanique elle se permettait même de sourire, c’était une première depuis longtemps. Lorsqu’elle faisait de la mécanique avec lui, elle voyait toujours sa mère d’accueil dans la porte à les observer, au début elle n’avait pas l’air de faire quoique ce soit, juste observer. Puis, plus le temps avançait, plus elle avait l’air maussade, pour finir fâchée. Aux bouts de 7 mois, l’abcès éclata. Une nuit, la femme avait bu et vint tirer Serena de son sommeil, la sortant de son lit par les cheveux, la traitant de tous les noms. Lui disant qu’elle tentait de lui voler son mari, qu’elle était une ingrate et qu’elle lui ferait payer. Après le choc passé, elle commença à tenter de se remettre sur ses pieds. Elle allait vraiment lui cassé la gueule quand monsieur s’en mêlant, forçant la femme en colère à la lâcher. Elle termina la nuit dans un centre de crise. Elle passa 4 mois en centre d’accueil avant de retourner dans une famille.

Pour la famille trois tous allaient bien. Elle était bien. C’était déjà mieux que rien. Elle ne faisait plus confiance, n’y aux hommes, n’y aux femmes d’accueil. Dans cette famille, ils avaient un fils un peu plus vieux. Il était gentil, un peu renfermer, mais sportif. Elle fit près d’un an dans cette famille, restant tout de même éloigner d’eux pour éviter les conflits. Tout ce qu’elle demandait, c’était d’atteindre sa majorité. Elle n’aurait pas cette chance, bien entendu. Une nuit, toujours là nuit. Si elle pouvait, elle ne dormirait plus jamais, mais ce n’était pas encore dans ses cordes. Bref, pendant une nuit, elle entendit du bruit dans sa chambre, ce qui l’a réveilla. Pas le choix, avec toutes ses mauvaises expériences. Quand elle ouvrit les yeux, c’est le fils qu’elle vit. Il lui expliqua gentiment qu’il n’arrivait pas à dormir et vint s’assoir avec elle. Ils discutèrent, elle l’appréciait bien dans un contexte familiale, mais Serena était jolie. C’était un problème. Après plus d’une heure de conversation, il tenta de l’embrasser, elle s’éloigna poliment, mais il voulut plus, se rapprocha. Elle s’éloigna encore, le repoussa doucement, tenta de lui expliquer, mais il refusait. Il commença à devenir menaçant. Elle attendit qu’il soit sur elle, il était plus fort qu’elle de toute façon. Elle se mordait la lèvre pour ne pas faire un mouvement non-réfléchit. Lorsque l’image était bien installée, qu’il n’y avait aucun doute sur ce qui se passait. Elle cria. Elle passa ses jambes derrières les genoux du garçon pour qu’il ne puisse pas s’enlever et les parents entrèrent dans la chambre. C’était sans équivoque, il était sur elle, elle se débattait. Quand il voulut se relever, elle lui cassa le nez d’un coup de tête. Fallait se venger quand même.

Elle devint alors froide et calculatrice, elle quitta l’école cette année-là, allant aux examens simplement pour terminer son année. Le foyer de savait plus vraiment quoi faire d’elle. Elle n’était pas heureuse. Elle grandit simplement sans foyer, sans attaches, volant pour manger des sucreries, pour s’habiller... pour exister. Elle ne changea pas d’avis pour autant, pour elle, une bonne personne était une personne loin, très loin. Elle n’était pas du genre à fréquenter des garçons, comme des filles. Elle n’aimait plus rien, ne voulait rien. Elle fit transférer son dossier à Atlanta, elle avait eu un conflit avec une fille de son dortoir et refusait de rester dans ce centre une minute de plus. Elle l’aurait tué. Au bout d’une semaine dans ce nouveau centre, elle fit la demande de ne pas avoir de nouvelles familles d’accueil. Elle avait déjà 17ans, elle ne voulait plus revivre tout ça. C’est au début de ses 17 ans qu’elle entendit parler d’émancipation. Elle signa le papier le matin même, et 2 mois plus tard, juste avant la rentrée scolaire elle avait droit à une nouvelle vie.


Serena venait tout juste d’emménager dans un petit deux pièces et demi dans un cartier paumé d’Atlanta, la ville natale de son père du peu qu’elle en savait, comme des mauvais souvenirs inexistants. Juste une photo à l’appui. Elle se considérait toujours comme électrons libre malgré son jeune âge. Elle était sortie du système et sa lui faisait un bien fou. Elle avait réussi finalement à convaincre les services sociaux qu’elle pouvait s’occuper d’elle-même, mais elle avait quelques restrictions : Elle devait avoir un lieu ou vivre, elle devait s’inscrire dans une école et elle devait se trouver un petit boulot. Elle avait donc un petit appartement, elle travaillait dans un bistro non loin de là, à l’aéroport en fait et par la suite elle s’inscrivit au Franklin High School. Elle commença ses cours simplement, ne se faisant pas trop remarqué si possible, mais avec la tête qu’elle avait c’était difficile, heureusement qu’elle était froide comme un glaçon. En même temps, elle n’était pas désagréable pour les professeurs, elle était brillante et à son affaire. C’était avec les autres personnes de son âge qu’il y avait un… blocage. Malgré son physique, elle n’avait jamais eu de réel petit ami et elle n’allait pas commencer de sitôt.

Elle ne savait pas ce qu’elle allait faire de sa vie, elle voulait juste son diplôme, mais la vie en avait encore et toujours contre elle. Ce matin-là, elle eut un appel du travail, il espérait qu’elle puisse rentrer travailler malgré sa journée de classe. Elle accepta. Elle n’alla donc pas à l’école pour prendre le bus vers l’aéroport. Dans le bus, un homme semblait malade, fiévreux. Si on lui aurait dit ce qu’elle allait voir, elle ne l’aurait pas cru. L’homme c’était finalement assoupit depuis un moment déjà quand il se releva. Son regard était… terrifiant. Il se rapprocha d’elle et tenta de l’attaquer, mais elle avait des réflexes et le frappa au visage, lui cassant le nez. Il ne bougea pas et mordit la personne à côté de lui et une autre ensuite. Le bus freina sèchement, la faisant tomber. Elle vint pour quitter le bus rapidement quand elle vit l’homme qui avait tenté de l’attaquer plus tôt… en train de bouffer quelqu’un. Non, non sérieusement, il avait les mains dans ses… ses tripes et le dégustait. C’était horrible. Même pour elle, cette vision était juste… trop terrible.

Elle quitta le bus, mais tout ce bouscula, les gens se relevaient, en mordaient d’autres. C’était la panique dans les rues. Le problème, c’est que les gens mordus ou inertes ne se relevaient pas tout de suite après, ça prenait un certain temps, il avait l’air… malade, avec les yeux vraiment bizarre. Elle se fit percuter dans tous les sens, des gens s’éloignaient d’autres se rapprochaient des… malades? Criaient d’appeler des ambulances. Elle prit son téléphone, mais elle n’avait pas de réseau. En pleine ville? C’était impossible. Ensuite elle comprit, tout le monde était sur leur téléphone, résultat : le résultat de fournissait pas. Elle vit un homme, cherchant à retenir le sang qui coulait sur une personne blessé. Serena était… pétrifiée, elle ne pouvait pas aidée ou ne voulait pas, elle n’en était pas sûr. Comment aurait-elle pu? Le devait-elle? Elle ne savait même plus par où aller. Elle retournerait chez elle? Elle allait au bistro? Elle allait à l’école? Elle était en face de l’hôtel Hilton. Elle ne savait pas quoi faire dans un cas d’épidémie. Elle était préparée notre petite Lolita, mais pas à ça. En fait, vraiment pas à ça. C’est là qu’elle le vit, mais trop tard. La personne qui saignait venait de mordre la personne qui l’aidait au coup, arrachant par la même occasion un long morceau de peau. L’autre n’avait pas l’air d’arriver à crier. Elle détourna les yeux, commençant à avancer vers chez elle. Elle n’avait rien sur elle qui puisse là… défendre? Juste ses devoirs à remettre pour le lendemain. Qu’est-ce qu’elle allait faire? Elle était au paroxysme de la nervosité. Le seul but maintenant, était juste de ne pas être contaminer. Trouver un endroit sécuritaire et avec le moins de personne possible autour d’elle. Elle avait réussi à faire quelque coin de rue vers chez elle quand elle vit que par là-bas, ce n’était pas mieux. En fait, c’était vraiment pire devant elle, elle regarda derrière, mais finalement c’était pareil. Des gens couraient, d’autres étaient blessés, d’autres étaient… malades. Elle se figea quand elle vit une femme « malade » avancer vers elle, elle était en sang, mais ce n’était pas ça qui était si troubla. Ce qui l’a troublait, c’était qu’elle avait l’intestin grêle qui frottait au sol, qui tirait immanquablement sur l’estomac et sur le peu du gros intestin qui restait. Elle avançait… elle avançait! C’était impossible. Vu le trou, on aurait dit qu’on l’avait dévoré de l’intérieur, on pouvait même voir un morceau manquant dans le poumon de droite. C’était… impossible. Juste non. Qui pouvait sincèrement survivre à ça? C’est à ce moment qu’elle se fit saisir les épaules, entendant un râle près de son oreille. Une seconde, ce fut le temps qu’il lui fallut pour se remémoré c’est cours d’auto-défense. Elle bougeait vite et bien, ce qui lui sauva la vie. Elle arriva à se dégager, ce reculer d’un pas et elle frappa comme apprit. Elle frappa le pied, sans la réaction habituelle de douleur venant de l’autre, la fourche… non plus. La dernière option était les yeux. Déjà il tendait les bras vers elle pour la mordre. Elle aurait pu le frapper avec la paume, mais elle avait peur de tomber malade, elle fit donc la chose la plus horrible qu’elle avait eu à faire jusque-là, elle planta un stylo dans l’œil du malade, très vite, très fort. Elle ne put le récupérer. Elle se retourna en vitesse se souvenant de la femme aux intestins. Elle évita son attaque et recula. Elle se heurta dans un échafaud. Son fast-food préféré était en réparation, des planches recouvraient les fenêtres, des bâches recouvrait les murs. Des échafauds prenaient toute la place sur le trottoir, c’est là qu’elle eut l’idée. Elle grimpa tout simplement. Elle grimpa vite pour ne pas se faire attraper. Heureusement pour elle, la femme n’avait pas l’air de savoir grimper. Elle regarda le désastre que la ville était en train de devenir, elle ne savait pas comment elle allait faire, mais pour le moment. Elle entra par une fenêtre plus haute. Heureusement pour elle, ils étaient en train de refaire la brique du mur, elle en prit donc une, juste au cas. Elle entra en silence dans la bâtisse et referma la fenêtre juste au cas.

Elle marcha silencieusement, faisant le tour de la bâtisse… personne. Il n’y avait personne dans le bâtiment. Les ouvriers étaient surement sortie diner, ils n’y en avaient pas beaucoup, le restaurant n’avait pas beaucoup d’argent. Elle fit le tour de l’endroit avec un regard nouveau, elle devrait peut-être rester longtemps ici. Elle s’assura donc que tout était fermé. Porte fenêtre, que tout était sécuritaire et barricadé même. Si elle avait à sortir, elle n’aurait qu’à prendre l’échafaud. Elle pouvait toujours aller voir l’extérieur par l’accès au toit ou même par la fenêtre donnant sur l’échafaud. La nuit se rapprochait, elle tombait de sommeil, mais elle avait peur, vraiment. Elle chercha une arme n’importe quoi, l’idée la plus censée était d’aller voir le matériel des ouvriers et elle avait eu raison. Elle y trouva des choses, utile ou pas, elle n’en savait rien. Elle mit quand même dans sa poche un x-acto assez violent et plusieurs lames de rechange. Elle vint pour partir quand elle vit un manche dépasser de « poubelles » des planches et des plaques de plâtres pêle-mêle. Elle y trouva une masse, une grosse masse pour défoncer des murs. Elle tenta de la saisir, ça ferait une arme excellente, mais… juste la soulever était un effort considérable. Elle ne serait jamais capable de faire quoique ce soit avec cette arme potentielle, à son grand malheur. Elle la redéposa, la laissant tomber plus, ce qui fit tomber une planche. Elle s’inquiéta pour le bruit, mais rien ne bougea. C’est là qu’elle aperçut le saint graal des armes, une hache servant elle aussi à la démolition, mais avec une tête beaucoup moins lourde. Elle la souleva sans peine. Personne n’oserait l’approcher avec ça à la main. Surtout qu’en ce moment, à l’extérieur, on entendait beaucoup de coup de feu, comme si la ville était à feu et à sang. Elle repartit avec sa hache au premier étage, tout était vide, silencieux, mais à l’extérieur, c’était encore le chaos. Elle saisit des banquettes non posé, des dossiers et des sièges. Elle les traina lentement vers un frigo qui ne fonctionnait pas. Elle vérifia que l’aération se faisait bien et ferma la porte solidement, glissant une barre de fer dans la poignée pour qu’il soit impossible de l’ouvrir de l’extérieur, demain était un nouveau jour, elle dormirait ici pour la nuit.

Elle n’osa pas sortir pour les semaines suivantes. Il y avait un frigo fonctionnelle avec de la nourriture dedans et un congélateur avec lui aussi des vestiges du restaurant. Elle arracha les rideaux inutiles vue les planches dans les fenêtres pour se faire des couvertures et un oreiller de fortune. Elle avait fait l’inventaire de ses maigres ressources, à l’extérieur elle voyait de moins en moins de personne saine, juste des gens malades. Elle avait rebranché la radio des ouvriers pour entendre que l’infection avant touché le pays entier, appelant ces choses des marcheurs ou des rôdeurs. Elle aimait bien le terme marcheur, parce que de sa fenêtre, c’est ce qu’elle les voyait faire… marcher. Marcher jusqu’à ce que quelque chose de vivant ne se montre, là il mangeait, il mangeait sans arrêt. Elle avait de l’eau, elle profita de l’eau courante pour remplir des bidons, des cruches, des pots de peinture vide et propre, n’importe quoi qui pouvait servir de contenant. Elle avait vue assez de film pour savoir que pour survivre il fallait de l’eau et de la nourriture. La seule chose qui lui manquait, était des vêtements. Elle avait donc osé sortir par le toit pour essayer de se rendre à l’immeuble d’à côté, un immeuble d’habitation. Elle arriva à entrer dans un appartement sans trop de bruit, vers onze ans, on lui avait offert un petit kit de crochetage de serrure, un ancien copain de sa mère, voleur de voiture. Il voyait surement beaucoup de potentiel en Serena. Bref, elle ouvrit la porte. Il n’y avait pas de bruit, elle marcha silencieusement, refermant la porte derrière elle et elle se dirigea vers les chambres. Son erreur fut de ne pas inspecter l’appartement au complet avant. Elle fut donc surprise par… une marcheuse. Elle était en peignoir, surement qu’elle avait été malade de la maladie, qu’elle était resté chez elle pour guérir et qu’elle en était morte. Elle allait mordre Serena, elle le savait. Il l’avait dit à la radio, tuer ou être tué. Elle saisit donc sa hache à deux mains. Viser la tête, qu’ils avaient dit à la radio. Elle allait le faire, elle y arriverait. Elle était Serena Donnelly et tout ce que la vie lui mettait sur son chemin, elle le surmonterait.  Elle défonça le crane de la femme à coup de hache. C’était sa première… victime si on ne compte pas le stylo dans l’œil. Elle farfouilla dans la garde-robe, trouvant des vêtements à sa taille. Elle ramassa un sac de transport facile à transporter dans son dos. Elle le remplit de vêtement, sous-vêtement, d’un ou deux chandails plus chaud au cas où. Elle prit même un oreiller pour le moment. Elle prit des choses essentielles à son hygiène personnelle et un peu de nourriture supplémentaire. Elle referma le sac, le mit solidement sur ses épaules et serra sa hache à deux mains. Elle retourna aux restaurants sans trop de mal. Elle était acrobatique et en forme, ce qui aidait beaucoup. Elle retourna à son frigo, elle était bien là pour le moment. Elle ne laissait jamais son sac bien loin et toujours plein. Un… au cas où. S’il y avait quelque chose, elle n’aurait qu’à prendre la poudre d’escampette.

Un jour comme les autres, elle entendit un grand bruit. Un bruit de voiture roulant vite, dérapant, se reprenant. Elle prit son sac à dos, son sac en bandoulière et sa hache avant d’aller voir à la fenêtre du deuxième. Elle eut juste assez de temps pour voir une grosse berline percuter les échafauds et entrer dans le bâtiment. Elle sentit les murs vibrer et elle vit la chose la plus effrayante. Elle vit les marcheurs s’engouffrer dans le trou. Elle entendit le cri d’un homme puis plus rien. Elle courut sur le toit, passa sur l’autre immeuble, puis l’autre. Elle prit une grande respiration. Où irait-elle? Elle pouvait aller au bistro de l’aéroport, elle pouvait aller à l’école voir s’il y avait des trucs pour survivre là-bas. Elle se souvenait de l’hôtel se barricadant rapidement. Elle ne savait plus trop ce qu’elle voulait. Elle devait simplement… agir. Elle était forte notre Serena, elle affronterait toutes les embuches de la vie, elle était une survivante. Elle resserra sa poigne sur sa hache. Elle était prête à affronter le monde entier et s’il fallait tuer pour le faire, elle le ferait.


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Jack Anderson

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MessageSujet: Re: Serena Donnelly   Serena Donnelly EmptyDim 2 Fév - 5:29

Bienvenue jolie demoiselle  Serena Donnelly 4127617422 Razz
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Logan Smith

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MessageSujet: Re: Serena Donnelly   Serena Donnelly EmptyDim 2 Fév - 6:42

Bienvenue! Serena Donnelly 2760362753
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Alyana Johnson

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MessageSujet: Re: Serena Donnelly   Serena Donnelly EmptyDim 2 Fév - 6:56

Encore bienvenue !! Very Happy

Et je te valide ♫

Et donc euh... tu as 264 lignes d'histoire *tombe dans les pommes* ce qui nous fait... 1320 points RP @_@

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Serena Donnelly

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MessageSujet: Re: Serena Donnelly   Serena Donnelly EmptyDim 2 Fév - 6:56

Merci je cours a la boutique!
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Megan Stirling

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Serena Donnelly Left_bar_bleue60/100Serena Donnelly Empty_bar_bleue  (60/100)
Jauge de Faim:
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Matériel de Survie:

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MessageSujet: Re: Serena Donnelly   Serena Donnelly EmptyDim 2 Fév - 6:58

Encore bienvenue et fais bon usage de toute cette richesse en m'en donnant la moitié par exemple Serena Donnelly 1956859838

Bien joué quand même Serena Donnelly 566390861
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Anonymous

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MessageSujet: Re: Serena Donnelly   Serena Donnelly EmptyDim 2 Fév - 10:43

Bienvenuue sur le fo' !
J'avoue que j'ai pas lu l'histoire en entier, mais j'aime bien e caractère ^^

Amuses-toi bien !
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Anonymous

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MessageSujet: Re: Serena Donnelly   Serena Donnelly EmptyDim 2 Fév - 11:34

Bienvenue parmis nous ! xxx
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Serena Donnelly

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