Memento Mori

Dans un monde envahi par les zombies, arriverez-vous à survivre ? Choisissez votre camp, choisissez votre survie... ou votre mort.
 
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 [Terminé] Iden Blensson

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MessageSujet: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson EmptyMer 8 Jan - 6:41


Nom : Blensson
Prénom : Iden
Date de naissance : 3 janvier 1981
Lieu de Naissance : Washington
Âge : 30 ans  

Ancien metier : Militaire
Groupe : The prison group
Feat : Michelle Rodriguez
Et vous ?  

Niveau : Correct je pense ^^
Âge : 17 ans
Comment avez-vous connu le forum ? Sur un top-site

Physique
Iden, Iden Blensson. Si tu la croises, tu ne vas peut-être pas aller lui adresser la parole. Ou alors tu vas réfléchir un peu avant. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison que malgré son petit mètre soixante dix tout juste, tu peux discerner les muscles fins mais marqués sous sa peau. Une peau hâlée de nature, mais que le soleil à rendu encore plus foncée, en accord avec ses longs cheveux noirs ondulés qui lui tombent jusqu'au milieu du dos qu'elle attache parfois.  Mais ce qui va le plus te retenir, c'est son regard lorsque tu le croiseras pour la première fois. Des yeux en amande entourés de longs cils noirs, si sombres que l'on ne distingue que difficilement la pupille de la rétine et dans lesquels tu apercevras une lueur menaçante, un regard qui te met en garde, méfiant, distant, froid. Et qui ne risque pas de s'adoucir tant qu'elle ne se sentira pas un temps soit peu en sécurité, du moins si l'on peut encore l'être dans ce monde. Mais une fois que tu l'as connaîtras un peu plus, tu verras que ces yeux peuvent devenir rieurs et que son regard froid peut devenir plus chaleureux, plus accueillant.Tu remarqueras aussi par la suite ses lèvres plutôt pulpeuses, mais qui jamais n'esquisseront un sourire si elle ne te connait pas. Tu la verras souvent vêtu de vêtements pratiques, tel qu'un pantalon moulant, une paire de boots en cuir marron clair et une veste de la même teinte en tissu résistant portée au-dessus d'un tee-shirt sombre. Un ceinturon pour agrémenter le tout, auquel sont suspendus ses armes et elle a gardé ses plaques militaires autour du cou.

Caractère
Cette attitude lui sert surtout à éviter que l'on ne s'approche trop près d'elle. En effet, c'est une femme assez méfiante et qui a du mal à accorder sa confiance. Si vous souhaitez l'obtenir, il faudra vous accrocher et en être digne. Lorsqu'elle rencontre quelqu'un, elle ne fera jamais le premier pas. Vous ne venez pas à elle, elle ne viendra pas à vous et vous aurez beau l'enfermer dans une pièce en compagnie de quelqu'un dont elle n'a aucune raison de se méfier, elle n'ouvrira pas la bouche si l'autre ne le fait pas d'abord, du moins quand c'est sans raison, en cas d'utilité, évidemment qu'elle parlera. C'est une personne assez solitaire à qui cela ne posera aucun problème de rester seule sur une longue période. Vu comme cela, elle peut paraître comme une femme froide, mais elle est en vérité, surtout timide et il faudra qu'elle se sente vraiment en confiance pour qu'elle se montre un peu plus bavarde. Assez discrète, cela ne l'empêche pas d'être toujours prête à aider en cas de besoin et si vous devenez amis avec elle, elle se montrera assez protectrice et fera tout pour vous aider. En revanche, être proche d'elle peut-être assez frustrant car elle se montre très secrète et se livre rarement, mais elle restera toujours fidèle. Malicieuse et attentive, elle peut se montrer être de bonne compagnie si vous prenez le temps d'apprendre à la connaître. Mais si elle se montre plutôt sympathique lorsque vous devenez amis avec elle, elle peut se montrer très différente lorsqu'il s'agit des personnes qui lui tapent sur les nerfs, n’hésitant pas à les remettre à leurs places sans se gêner et peut même se montrer violente et agressive. Courageuse et n'ayant pas froid aux yeux, même en faisant un effort, elle ne supporte pas les personnes qui trouvent encore le moyen de faire des caprices en tout genre dans ce monde et les tas de muscles sans cervelles qui se croient tout permis.

Histoire

DU DÉBUT ...
La vie ça débute quand on né, alors autant commencer par cette partie là. Je suis arrivée dans ce monde dans un grand hôpital de Washington, aux Etats-Unis, en pleine nuit de septembre 1983. Je sais par le biais de ma mère que cette nuit là, mon père n'était pas là, qu'elle était seule. Non pas qu'il l'ait abandonnée, juste qu'en tant que militaire dans l'US Army, il avait des obligations. Obligations qui l'ont empêchées d'être présent le jour de ma naissance. Et que même mon arrivée dans sa vie n'a pas fait en sorte qu'il soit plus souvent à la maison. Mais malgré cela, malgré le fait qu'il soit régulièrement parti dans un lieu qu'il n'avait pas le droit de nous révéler, je me souviens de chaque moment passés en sa compagnie, tous. Et je me souviens aussi que ces moments, je les appréciais plus que tout.

J'ai donc été en grande partie élevée par ma mère, sautant presque de joie quand j'apprenais que mon père serait présent pour un weekend ou qu'il rentrerait d'une de ses mission secrète. J'ai été dans une école de mon quartier, comme tout goss normal. Le soir quand je rentrais, c'est une nourrice qui m'attendait à la maison, ma mère rentrant tard du travail. Je n'ai pas de frère, ni de sœur. Je suis fille unique. Et lorsque j'entendais des gamins de mon école se plaindre des leurs, la plupart du temps je ne comprenais pas. Un frère ou un sœur, j'aurais donné n'importe quoi pour en avoir. Ça aurait peut-être aidé à ce que je me sente moins seule, à ce que je puisse parler à quelqu'un de ma journée à l'école, de ce que j'avais fait. Mais en général, ma mère rentrait tard de l’hôpital dans lequel elle était chirurgienne. Et moi j'attendais à la maison.

Un soir, alors que j'avais sept ans, j'étais à table avec mon père. C'était un de ces moments que j’appréciais, quand j'étais avec lui à la maison. On était à table, en train de rigoler pour un rien, après que je lui ai raconté ma journée à l'école. C'est alors que la sonnette a retenti. Je pensais que c'était ma mère. Je me suis levé et j'ai été ouvrir la porte. Sauf que ce n'est pas sur ma mère que je suis tombé ce soir là, mais sur un flic. Un flic qui avait retiré son képi et qui affichait une mine grave. Je n'ai pas compris, j'ai juste appelé mon père. Qui a du comprendre que quelque chose clochait. Il a fait entrer le policier et m'a demandé d'aller dans ma chambre. C'est ce que j'ai fais. Et comme les autres soir, j'ai attendu sur mon lit, les yeux grands ouverts. Un peu plus tard, mon père est entré dans ma chambre et s'est assis à côté de moi, sur mon lit. Je me souviens de ses mots, de ce qu'il m'a dit d'une voix qui se brisait au fur et à mesure qu'il parlait. Un accident de voiture. Une voiture qui en a percuté une autre. Dans une de ces voitures, il y avait ma mère, qui n'a pas survécu. A ce moment là, j'ai compris que le soir, j'aurais beau attendre dans mon lit, les yeux grands ouverts que ma mère rentre du travail et vienne me dire bonne nuit, elle ne viendrait plus.

Après ce soir là, j'ai passé une semaine à pleurer toute les nuits. Cette même semaine, j'ai entendu mon père pleurer lui aussi. Je me souviens qu'on a pleuré à deux, dans le salon de notre maison. Ensuite, on l'a enterré. Il y avait du monde ce jour là, autour de son cercueil, au milieu d'un cimetière de Washington. Après son enterrement, mon père a reprit ses activités dans l'armée, il est reparti en mission. Et moi je suis retournée à l'école. Je me souviens des regards de mes amis, au courant de la mort de ma mère. Il me regardait avec tristesse, pitié. Et ça me faisait encore plus souffrir. Je voulais oublier et les autres me rappelaient sans cesse ce qui étai arrivé par leurs comportements. Le soir, je rentrais chez moi. Soit il y avait mon père, soit ma nourrice. Je ne parlais presque plus, je me renfermais sur moi même et le temps est la seule chose qui a pu me guérir.

J'a grandi et j'ai fini par accepter la mort de ma mère et à faire mon deuil. Je me suis remise à être plus bavarde, bien que je ne l'ai jamais vraiment été. Ma vie a continué comme ça, j'allai en cours, le soir je rentrais et je m'occupais comme je pouvais. Lorsque j'ai eu douze ans, mon père a changé de fonction dans l'armée et  même s'il partait encore parfois en mission, il se montrait beaucoup plus présent à la maison, ce qui nous a permit d'être plus proche qu'avant. Je l'ai toujours respecté, c'était un homme bon, droit et attentionné et je me souviens qu'il ne se départissait jamais de son calme et de son sang-froid. De mon côté, j'ai commencé à faire de nombreux sports, notamment des sports de combats, pour occuper mon temps libre et pour me dépenser après les cours.

Mon père a rencontré une femme par la suite. Je me souviens le premier soir ou il me l'a présenté, quand je venais d'avoir treize ans. Quand j'ai croisé le regard de cette femme, je l'ai regardé avec colère et mépris. Je n'acceptais pas l'idée que mon père puisse aimer une autre femme que ma mère. Je me souviens l'avoir ignorer pendant un long moment, plusieurs semaines si ce n'est même quelques mois. Puis après une discussion avec mon père, j'ai fait un effort. Et autant dire que ça a payé. J'ai découvert que c'était une femme douce et gentille, qui s'était séparé de son mari quelques années plus tôt et j'ai fini par l’apprécier, à ma plus grande surprise. Et elle avait un fils, de sept ans de moins que moi, Noah. Il avait sept ans quand je l'ai connu et je me suis de suite attachée à lui, garçon plein de vie et joyeux. Le temps a continué à passer et ma belle mère a fini par emménager chez nous. J'ai accepté cette idée de reformer une famille avec une femme qui n'était pas ma mère et je me suis rapprochée de Noah, qui était le frère que j'avais toujours souhaité avoir.

Quelques années plus tard, quand j'ai eu quinze ans, mon père s'est marié avec la mère de Noah et je du avouer que cela faisait longtemps que je ne l'avais pas vu aussi heureux. Malheureusement, leur bonheur ainsi que le mien ne dura pas bien longtemps. Juste un peu plus d'un an. En effet, l'année de mes seize ans, mon père n'est pas rentré d'une opération extérieure à laquelle il participait. Il n'est tout simplement pas rentré car il avait été tué. A l'annonce de sa mort, je me souviens que je n'ai pas dit un mot, tout comme les jours qui ont suivis. J'ai mis du temps à me remettre de son décès, à accepter l'idée que j'étais à présent orpheline. J'étais triste, en colère, perdu, je ne savais pas vraiment quoi faire à vrai dire. Le sport a été le seul moyen que j'avais pour oublier la douleur que je ressentais à l'époque. Et malgré le décès de mon père, j'ai continué à avancer, parce que je n'avais tout simplement pas le choix.

Jusqu'à mes dix-huit ans, j'ai choisis de rester vivre avec Noah et ma belle-mère. Parce qu'ils étaient devenus pour moi comme ma vrai famille et que je me sentais bien en leurs compagnie. Je n'avais jamais aimé les cours, préférant le sport et le grand air, si bien que lorsque j'ai atteins ma majorité, j'ai intégré l'armée américaine, honorant en même temps mon père. Je m'y suis de suite plus, et j'ai intégré quelques années plus tard, après avoir gravi les échelons, une unité de renseignement et d'infiltration.

Je n'étais plus très présente chez moi, souvent parti en mission ou tout simplement occupée à la base. Mais je rendais parfois visite à ma belle-mère ainsi qu'à Noah, qui avait une quinzaine d'années. Mon métier me plaisait plus que tout, j'étais heureuse, mais il a fallut que lorsque j'ai eu vingt-sept ans, tout dégénère, avec cette foutu maladie venue d'on ne sais où …

JUSQU’À L’ÉPIDÉMIE
Au début, je ne savais pas quoi penser de cette maladie. Personne ne savait réellement ce que c'était, excepté le fait qu'une forte fièvre s'emparait de nous puis qu'on finissait par y succomber. Je me demande même si les autorités elle même savaient ce qui se passait. J'en doute. Si ça avait été juste une épidémie comme on en parlait dans les médias, on aurait pu contrôler la situation. Après tout, il y a les vaccins, les médicaments. Sauf que tout cela allait bien trop vite pour que l'on puisse comprendre. Les personnes succombant à cette forte fièvre ne sont pas restés mortes. Et c'est alors que tout à commencé à partir en vrille …

Faisant parti de l'armée, j'ai été informé de la situation dans le monde. On avait perdu contact avec les plus grandes puissances mondiales, le peu de signaux que l'on parvenait à capter étaient brouillés. Le gouvernement a diffusé des images à la télévision, des images sur lesquelles on voyait des gens en dévorer d'autres, les mordre comme un simple bout de viande, avec en fond, des messages conseillant à la population de rester chez elle et de faire des réserves...

Mais malgré les précautions, la panique s'est emparée du pays. Et que peut faire un gouvernement face à une population entière apeurée et désespérée ? Pas grand chose. Les mots ''zombies'', ou encore ''revenants'' ont commencé à circuler. Et il n'a suffit que de quelques mois à peine pour que le monde devienne le théâtre d'un chaos total. Des morts, mais qui continuaient de marcher partout dans les rues, les survivants quittant les villes à la va-vite avec de maigres réserves et le minimum pour survivre. J'ai aidé à évacuer la population des villes et je me souviens des questions que les gens nous posaient, pensant qu'en tant que soldat on n'en saurait un peu plus qu'eux sur la situation. Sauf qu'on ne savait rien de plus qu'eux, sinon qu'il fallait fuir. En quelques mois, c'était le chaos et tout le pays était à présent submerger par ces marcheurs.

J'ai pu voir qu'une simple morsure nous faisait mourir et que l'on revenait ensuite à la vie sous forme de ces monstres mangeurs de chairs humaines. Je l'ai découvert sur ma belle-mère, mordu à l'épaule qui s'est ensuite réveillée et a essayé de mordre Noah. J'ai vu la douleur dans le regard de mon frère, âgée de vingt ans, mais qui m'a ensuite regardé avec détermination. Il m'a proposé de fuir, vers Atlanta. En effet, une rumeur courait qu'un camp de survivants s'y trouvait. Mais je ne pouvais pas. Il y avait encore certain lieu à Washington qui tenait tant bien que mal debout, protégé par ce qu'il restait de l'armée. Armée dont je faisais parti et que je devais toujours servir. Alors j'ai dit à Noah de partir pour Atlanta, vers ce soi-disant camp pour lequel j'avais des doutes quand à son existence. Mais cela lui donné un objectif. Il est alors parti, avec quelque vivres et armes que je lui ai procurés, après lui avoir assuré que l'on se retrouverait.

Après le départ de Noah, il s'est écoulé à peine quelques semaines avant que l'unité dans laquelle je me trouvais soit submergée par le nombre de ces revenants alors que l'on protégeait un des derniers lieux encore debout de la capitale. Je me souviens de la vague fulgurante arrivant vers nous, renversant les sacs de sables en s'appuyant en masse dessus et nos balles fusant vers leurs crânes sans pour autant arrêter les autres. On a du battre en retraite et je ne me souviens plus vraiment de ce qu'il s'est passé ensuite. Juste du vacarme produit par les coups de feu, des grognements de ces créatures, des cris de douleur de mes camarades. Le reste est confus. Je sais juste que nous avons du battre en retraite et que j'ai couru, tirant sur tout les marcheurs s'approchant trop près de moi. J'ai fini par me retrouver seule avec le commandant de mon unité, sur une grande route de Washington, une masse de monstres derrière nous. On est montés dans un véhicule de l'armée et on a foutu le camp. Nous n'avions pas d'autres choix. Et c'est là que j'ai réellement compris que c'était fini, que tout le pays avait sombré et que même l'armée, la police ou quoi que ce soit d'autres ne pouvait plus rien faire.

On a roulé sur de nombreux kilomètres, pendant deux jours entiers après avoir quitté tant bien que mal la capitale du pays, nous arrêtant pour manger et dormir un peu. On a fini par s'arrêter et à réfléchir un peu, ainsi qu'à accepter ce que le monde était à présent. Pour moi, il n'y avait qu'un lieu où je pouvais aller. Atlanta. Rien ne me disait si ce camp de survivant était bien réel, mais je devais retrouver Noah. Et puis de toute façon, où est-ce qu'on pouvait aller à présent ? C'est surement, ce que Drew, l'ex-commandant de mon unité à compris puisqu'il m'a proposé de m'accompagner. Je n'ai pas refusé sa compagnie, bien que la solitude ne soit pas un fardeau pour moi, mais être deux est toujours mieux dans ce monde qui n'est plus que chaos …

On s'est donc mis en route vers Atlanta, comprenant que se déplacer avec une grosse voiture sur ces routes encombrées n'était pas si facile que ça. Et j'ai pu m'apercevoir qu'avoir reçu une formation militaire ne pouvait qu'être un bénéfice dans ce monde. On a cherché des survivants, en vain. Comme-s'il ne restait que nous. Mais c'était impossible, il y avait forcement des vivants. On avançait lentement, ralenti par les voitures à l'arrêt sur les routes, mais aussi parce que nous nous arrêtions dans chaque bourgade, dans chaque villages pour récupérer le nécessaire à la survie. Cependant, on évitait de pénétrer dans les grandes villes, se contentant des banlieues alentours. Si bien que l'on a mit plusieurs mois pour rejoindre Atlanta.

Au cours de notre avancée, Drew est devenu bien plus que le commandant qu'il était pour moi avant le début de l’épidémie. S'il avait toujours eu ma confiance, il est devenu un ami proche dont la compagnie m'était agréable et avec qui je pouvais parler de tout et de rien, comme de choses plus sérieuses. Mais il n'y a jamais rien eu de plus entre nous qu'une simple amitié, ce qui nous convenait aussi bien l'un qu'à l'autre.

On a fini par arriver près d'Atlanta et nous nous sommes mis à la recherche d'un groupe de survivants. J’espérais y trouver mon frère, en vie. On a parcouru Atlanta et ses alentours pendant un peu moins d'un mois, à pied. Mais je n'ai rien trouvé, que ce soit sur mon frère ou sur un groupe de survivants et je commençais à croire que l'on allait passer le reste de notre vie à errer dans notre pays qui n'était à présent, plus rien.

Mais on a finit par arriver aux portes d'une ville un matin du début de l'été 2011, après presque un an passé dehors. Une ville fortifiée pour être exacte, de haut murs de plusieurs mètres formant une frontière entre les marcheurs et les humains survivants. On nous a escortés à l’intérieur et l'homme qui dirigeait cette ville, le Gouverneur comme il se faisait appelé nous à autorisés à rester à condition que nous apportions notre aide à protéger la ville. Drew et moi avons accepté, bien que cet homme ne m'inspirait aucune confiance. Mais c'était ça ou retourner dehors, à la merci des marcheurs.

On est arrivé dans cette ville nommée Woodbury au milieu d'une sorte de conflit avec un autre groupe de survivants. Nous n'avons pas eu plus de détails. On protégeait la ville, on pouvait rester. On ne nous demandait rien de plus, nous non plus. Mais cette ville me paraissait étrange après le monde que j'avais connu à l’extérieur. Trop calme. J'ai eu un peu de mal à m'y faire, Drew aussi. Et alors que ça se passait plutôt bien, le Gouverneur, cet homme charismatique en qui je n'avais pas confiance, ayant des doutes sur ses réelles intentions, ordonna l'attaque de la prison. Il mobilisa toute la ville, même les jeunes tout juste adultes et seul les enfants, adolescents et personnes trop vieilles purent y échapper. Il voulait tout simplement massacrer ces survivants, les exterminer. Et même s'il y avait peut-être une raison, je ne pouvais juste pas y prendre part. Quoi que ce groupe ait pu faire, on ne pouvait pas se ramener là-bas et les abattre comme du simple gibier. Mais à deux, Drew et moi n'avons rien pu faire si ce n'est nous arranger pour ne pas prendre part à cette tuerie en restant à Woodbury, prétextant rester monter la garde.

Nous sommes donc restés dans cette ville que j'avais tout simplement envie de quitter, chose que j'aurais fait sans hésiter s'il n'y avait pas eu la petite population. Ce gouverneur qui dirigeait la ville, il était fou, complètement taré selon moi. Et laisser ces habitants ici, seuls … non. Alors que je discutais de ça avec Drew, des inconnus sont arrivés dans la ville. Après des explications, j'ai compris qu'il s'agissait des autres. Les autres survivants, ceux que le gouverneur avait prévu de massacrer. Ils ont emmenés les habitants restant en ville, c'est à dire en majorité des enfants et personnes incapables de se défendre. Drew et moi avons prit la décision de partir avec eux, en direction de leur campement. Je n'ai posé aucune question concernant le Gouverneur et ses hommes, étant plutôt soulagée qu'il n'ai pas atteint son objectif de les tuer.

Une prison. C'est dans une prison qu'ils vivent. J'ai été surprise quand j'ai découvert ce lieu, mais après tout ce n'est pas si idiot. Il y a un bébé, et un jeune garçon, un vieil homme, des femmes, des hommes. Qu'est-ce qu'ils ont bien pu faire pour que le gouverneur ait voulu à ce point se débarrasser d'eux ? En tout cas, depuis mon arrivée ici, je me sens mieux qu'à Woodbury, plus libre. Mais Noah ne se trouve pas ici non plus. Je ne sais pas si je dois continuer à chercher. J'ai peur de ce que je pourrais découvrir. Mais ici, derrière ces grilles, j'essaye de m'adapter à ce nouvel environnement et même si ce n'est pas mon fort du fait que je parle peu, je fais de mon mieux pour m’intégrer. Et puis deux nouveaux qui savent se défendre, ça peut pas faire de mal, même si je pense qu'ils se méfient un peu ...


Dernière édition par Iden Blensson le Sam 1 Mar - 23:14, édité 19 fois
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Alyana Johnson

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MessageSujet: Re: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson EmptyMer 8 Jan - 7:09

Encore bienvenue ! Very Happy

N'oublie pas, si tu as des questions, nous sommes là :3
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Megan Stirling

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MessageSujet: Re: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson EmptyMer 8 Jan - 7:52

Et encore bienvenuuuuuue [Terminé] Iden Blensson 2760362753
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Anonymous

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MessageSujet: Re: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson EmptyMer 8 Jan - 8:13

Bienvenue Smile
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Nokomis Skullnox

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MessageSujet: Re: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson EmptyJeu 9 Jan - 2:27

Welcome Very Happy
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Logan Smith

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MessageSujet: Re: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson EmptyJeu 9 Jan - 6:20

Bienvenue [Terminé] Iden Blensson 2760362753 Hâte de lire ta fiche ! (bon courage d'ailleurs)

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Anonymous

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MessageSujet: Re: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson EmptyVen 10 Jan - 13:13

Bienvenue dans le coin!
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Anonymous

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MessageSujet: Re: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson EmptyLun 13 Jan - 11:42

Merci à tout le monde ! Smile

J'ai terminé ma fiche !
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Megan Stirling

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MessageSujet: Re: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson EmptyLun 13 Jan - 12:20

Super, bienvenue à la prison ! Very Happy
Tu es donc validée, et toutes mes félicitations pour ton histoire ... 210 lignes ! Ce qui fait pas mois de ... 1050 points RPs oo TuEsLaMillionnaireDuForum ---> Bon parti !
Donc je te rajoute tes points dès que j'ai compris comment ça marche xD
Quand j'abandonnerais, je demanderais à Lyly, voilà voilà :3

EDIT : J'ai trouvéééé uhuhuh :3
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MessageSujet: Re: [Terminé] Iden Blensson   [Terminé] Iden Blensson Empty

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